Test de Turok sur XBOX 360

comic_turok Turok est à l’origine un personnage de Comic américain datant des années 50 mettant en scène un indien piégé dans une vallée où vivent des dinosaures. Mais ce n’est qu’en 1997 que le nom Turok devient mondialement connu grâce à une adaptation en jeu vidéo. Turok devient alors l’un des FPS de référence sur console et fera ainsi la joie des fraggers sur Nintendo 64. Turok connu ensuite diffférente suite plus ou moins réussi sur PC, GameCube, Xbox et PS2 avant de sombrer dans l’oublie! Du moins jusqu’à aujourd’hui puisque Touchstone propose une nouvelle version de Turok sur XBOX 360 et PS3.

Et quand je dis nouvelle c’est à tous les sens du terme! Puisqu’hormis les dino et le personnage principal tout est neuf! Le jeu vous plonge dans une histoire inédite mellant habilement science fiction et ambiance fantastique. Dans cette aventure intense que vous allez vivre manette en main, vous allez revenir à grand coup de cinématique flashback aux origines de Turok. Au tant dire que celle-ci prennent un tournant radical par rapport au scénario originel du Comic ou aux jeux vidéos précédent. Dans la vidéo d’intro, on retrouve un Turok à l’air patibulaire, avec des muscles prohiminant qu’on devine sous sa combi orange de  taulards. On découvre donc ce nouveau Turok menotte aux mains au milieu d’une bande de prisionniers. Face à eux, un mec leur annonce qu’ils ont été choisis pour devenir des membres du Wolf Pack, une unité spéciale qui a besoin de mecs avec de gros bras et qui ne manque pas de burnes. Il faut dire qu’il en faut pour intégrer une unité aussi violente, dont la spécialité est le combat au couteau, par derrière si possible pour éliminer sans bruit les sentinelles ennemies! (vous prendrez plaisir à dévérouillez les succès nécessitant de trancher à répétition la gorge de vos ennemis! :p)

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Turok est alors formé par Roland Kane, le big boss de l’unité qui lui apprend à devenir une véritable machine à tuer de sang froid! Seulement, Turok n’a pas que du muscle il a aussi un minimum de coeur. Ce qui lui vaudra une grave divergence avec son mentor qui pour ça part n’ésite pas à tuer d’innocent civil. A la fin de cette introduction très bien faite (comme toutes les cinématique du jeu), l’action commence enfin… Elle prend place bien des années plus tard et l’on retrouve cette fois-ci Turok à bord d’un vaisseau spatial en compagnie de Marines : la Whiskey Company (qui cette fois ressemble plus à une troupe de soldat qu’à un groupe de mercennaires). Turok à joint cette compagnie dans le but d’arrêter son ancien mentor Kane. En effet, ce dernier est maintenant sous le coup d’un mandat d’arrêt intergalactique et se planque sur une planète très primitive. Alors que vous approchez de la planète prêt à atterrir, votre vaisseau est dessendu comme une merde par un missile. Manque de bol, seul une poignée de survivant résiste à l’impact. C’est donc sans grand renfort ni beaucoup d’armements que vous débuter l’aventure au milieu d’une jungle hostile. Votre première objectif consiste à retrouver les survivants du crash. Très vite, vous constaterez que de nombreux dinosaures ont tendances à vous confondre avec un morceau de steak et que pour ne rien gacher Kane dispose d’une véritable armée qui vous attend de pied ferme…

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Turok est un FPS très classique dont les niveaux sont légèrement linéaire mais l’on s’ennuie jamais grâce à l’alternance entre chemins bien définis et grand espace ouvert d’autant que ceux-ci sont généralement bien fournit en ennemis ce qui ne manque pas de donner du rythme. Les environnements sont bien fait mais manque toute fois de variété puisque Turok évolue principalement dans 3 types de lieu: la jungle, des grottes et quelques bases ennemies. Heureusement, les armes sont bien plus variées et au cours de l’aventure vous serez ammenez à manier: fusil à impulsion, pistolet, mitrailleuse, lance flemme, fusil de sniper, lance-roquettes, fusil à pompe, sulfateuse… en plus des deux armes de bases dont vous ne pouvez vous défaire à savoir l’arc et le couteau. Il est donc possible de transporter simultanément 4 armes au total, 2 imposées + 2 ramassés sur le champs de bataille. Il est possible de changer facilement d’arme à l’aide du pavé directionnel. A noté que dans le cas des armes légères, vous pouvez en prendre une dans chaque mains et elles peuvent être d’un type différent (ce qui est assé sympa). Autre point fort, toutes les armes possède un tir secondaire souvent bien utile: flèches explosives pour l’arc, fusée éclairante pour le fusil à pompe, grenade énergétique pour le fusil à impulsion, grenade incendiaire pour le lance flemme…

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Avec cette variété dans l’arsenal, vous allez pouvoir abordé chaque niveau du jeu de manière différente. Ainsi, vous pouvez foncer dans le tas façon gros bourrin bien brutal ou au contraire faire preuve de plus de finesse. Des fois, il vaudra tout de même mieu faire preuve de réflexion pour vous infiltrer discrètement dans certains endroits. Le jeu peut parfois prendre des tournures assé tactique ainsi lorsque les hordes d’ennemis sont trop importante pour les attaquer de front, vous pous pouvez ruser. Par exemple, vous pouvez envoyer une cartouche éclairante en direction d’un dino ce qui ne manquera pas d’attirer une bébête plus grosse que ce dernier. Ensuite la loie du plus fort en vigueure dans la nature fait son oeuvre, les plus faible sont manger par les plus forts. Généralement, c’est un moyen efficace de nettoyer une clairrière… Autre méthode: tirer sur des œufs de dino pour faire rappliquer la « moman » qui énerver de voir sa progéniture réduite à l’état d’omelette s’attaque à tout ce qui est dans les alentours… telle une patrouille de gardes! 🙂 Une fois le sal boulo effectuer par les dino, vous pouvez avancer tapis dans les hautes herbes et prendre par surprise un ennemi et le tuer au couteau.  Les scènes de combats au couteau sont assé sympathique, pour les déclencher il suffit de se placer à proximité d’un ennemi et d’appuyer sur la gâchette droite au bon moment. Une cinématique assé sanglante se déclanche alors changeant la vue et permettant d’obeserver l’acte de barbarie d’un oeil externe. Dommage, même si ces courtes vidéos mette en scène un massacre bien stylisés et colle parfaitement avec l’action, elles ne sont pas assé variées avec seulement une ou deux vidéo différentes pour chaque dino. Autre problème, après la cinématique lorsque l’angle de la caméra repasse en vue subjective Turok a changé de place et d’orientation. Un peu pénible et déroutant dans certains niveaux ou il faut des fois plusieurs secondes avant de retrouver ses repères. Même s’il s’agit d’un point noir assé génant, Turok à plein d’autre bon côtés qui le font rapidement oublier. Nottament la variété des dinosaures, au cours de l’aventure vous en croiserez une petite douzainne, tous modéliser avec soin! Les dinos sont très agréables à regarder leur texture est réaliste et leurs mouvements fluide. Vous croiserez des petits Compsognathus inoffensif, des petits Utahraptor agressif , des paisibles Parasaurolophus qui ne vous font pas de mal mais que vous ne pourrez pas vous empecher de seigner juste pour le fun! :p Du côté des gros méchant on retrouve l’imposant Dilophosaurus ou encore l’incontournable Tyrannosaurus rex spécaliste de la chasse à l’homme! Enfin on retrouve un dino fictif qui vous foutrera des pétoches bien réel en déboulant des arbres ou il aime se planquer! 🙂 Pour le décor et l’ambiance vous aperceverez également au loin quelques Apatosaurus ainsi que quelques Ptéranodons. Grâce à toute ces créature l’ambiance est vraiment réussies, il y a de quoi bien s’éclater (à tous les sens du terme).

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D’autant que graphiquement le jeu Turok est vraiment réussi. Les décors sont superbes malgré que la jungle soit un peu terne et quelques bugs soient assé agassant. En effet, certaines herbes trace comme des sortes de grandes diagonales jusqu’au ciel mais qui reprenne une taille normal si tôt l’angle de caméra légèrement changé. Hors mis cela, tout le reste est bon, les branches et les herbes remuent ce qui suffit pour donner l’illusion d’être bel et bien dans la jungle et non pas laché au milieu d’un décor static en carton pâte. Quand à l’IA, elle a été bien travaillé contrairements aux derniers jeu que j’ai pu tester (Kane & Lynch, BlackSite…). Cette fois, les soldats ne fonce pas bêtement tête baissé droit sur vous. Par exemple, s’ils partent se mettre à couvert derrière un roché, quand c’est possible il le contourne pour ré-apparaitre à un autre endroit et essaye de vous contourner pour vous prendre à revers. Lorsque vous balancez une grenande, lesennemis font un bon de côté pour l’éviter… Dans certaines missions, un ou plusieurs coéquipiers vous épauleront. Pour une fois on appréciera leurs présences qui apporte un véritable soutien.

Enfin pour terminer, il reste le multi. Comme je l’expliquais dans ma preview, le mode Crazy Monkey à disparu au profit de mode de jeu plus classique avec des parties privées, publiques… et coopération. Pour la coop, le jeu propose  de réaliser des missions avec jusqu’à 4 pottes face à l’ennemi sur 3 cartes. Pour le reste, on retrouve des modes Capture the flag, deathmatchs (solo ou par équipes jusqu’à 16 joueurs) et 7 cartes ainsi qu’un War Games. Ici, vous aurez différents objectifs du genre désamorcer une bombe, détruire le QG ennemi, prendre une tour… Le multi est assé complet et dispose de pas mal d’options (tir ami, encombrement d’objets, temps de retour du drapeau, respawn des armes, pénalité suicide, points perdus pour suicide ou tir ami, vitesse drapeau en mains…). Dommage en revanche on aurait aimé plus de cartes de base, comme d’habitude il faudra attendre du nouveau contenu sur le live.

Pour conclure, je dirais que Turok est un bon FPS pour « consoleu » même si ce n’est pas le meilleur. Ce dernier offre de grande qualité nottament au niveau de l’ambiance qui oblige à changer d’armes et d’approche selon qu’on rencontre un soldat ou un dino. Certains passage sont vraiment délicat nottament lorsqu’on se retrouve à éviter des tirs de snipers alors qu’on n’est coursé par un dino. Les moments intense se succède rapidement dans le jeu et certains niveaux done vraiment du file à retordre. A tel point que même en mettant la difficulté en mode normal (le plus faible des 3 disponible), le défit reste assez élevé. Bref, je ne dirais pas que Turok est amené à devenir un incontournable sur 360 car il n’est pas parfait mais il reste néamoins un jeu complet et réussi grâce à une aventure sympa et intense en solo. Pour ne rien gâcher, le mode multijoueur est très réussi. Foncez donc prendre Turok dans sa version XBOX 360! Car oui, il faut le savoir la version PS3 de Turok ne rend pas hommage à la console de Sony. Globalement les graphismes sont moins beaux, la faute à des décors (herbe, fougères…) qui sont bien plus crénelés. Rajouter à cela des cinématiques légèrements saccadés et un contrôle pas aussi aisé da la visée à cause des sticks bien trop lâches sur la manette officielle PS3… Vous comprendrez alors qu’il est préférable de se tourner avec la version XBOX 360.

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